J'ai toujours vécu à Londres, avec mes parents. Mes parents on eu mon frère seulement deux ans après moi, se qui fait qu'on a toujours été à l'école ensemble, maternelle, primaire, collège, lycée. On a toujours était très proche lui et moi, toujours là l'un pour l'autre quoi qu'il arrivait. C'est aussi grâce à lui que j'ai rencontrer Julian, mon meilleur ami. Un jour, je devais avoir onze ans et lui neuf environ, on était invité à dîner chez Loïc, un ami de mon frère et j'ai rencontrer Julian, je grand frère de Loïc, on a parler un peu, on a jouer à la console et puis après on s'est retrouver dans le même collège, on traînait tous le temps ensemble, le temps passa et ça continuer ainsi, on été devenu les meilleurs amis.

« Juuuuuuuullll je vais te tuer, viens ici, idiot ! »

Je courrais après lui, on sortait du lycée, on courrait dans la rue, j'avais à la fois envie de le tuer et envie de rigoler. Il avait modifié mon devoir de français, incluant un paragraphe qui n'avait rien avoir avec mon écrit d'invention sur lequel j'avais bosser trois jours pour avoir une bonne note, 4, j'avais eu 4 à cause de sa mauvaise blague, il allait me le payer. Il entra chez lui, le rentrer le coursant à l'étage.

« Bonjour, Summer ! » me salua sa mère en riant.

Je répondais pas, j'avais pas le temps, je devais d'abord tuer son fils. Et ce fut comme ça pendant près de sept ans, on était toujours à se cherchait, se faire de mauvais coup, on était toujours autant ami et on s'en voulait jamais pourtant des fois sa tournée vraiment mal! Mais un jours ça changea, peu de temps après mes 18 ans je me suis gravement embrouillé avec ma mère, quelque chose de plus dur que d'habitude, et j'ai choisis sur un coup de tête de partir de Londres, de me barrer de cette maison, de partir loin de mes parents. J'ai fais mes valises et j'ai commencer à partir, je me suis faite interpellée deux fois. Quand j'ai entendu mon prénom, de sa voix si douce, elle été pleine de sanglot, j'ai baissé les yeux, je me suis retourné vers lui, je l'ai écouté sans rien dire.

« Su-summer, pars pas j'ai besoin de toi, tu peux pas me laisser seul, tu peux pas me laisser avec les parents ! T'es ma sœur bordel, reste.. Je comprends qu'ils te saoule mais je t'en pris reste, j'en ai besoin, pense à moi.. Reste pour moi.. »

J'en ai pleurer et j'ai lâchement secouer la tête, les larmes chaudes roulaient sur mes joues pendant que j'essayais de trouver ce que je pourrais bien lui répondre, je n'avais pas envie de la laisser, mais j'étais mal ici, impossible de rester, j'ai finalement lâcher quelques mots.

« On s’appellera, promis. »

J'ai continuer et avant de rentrer dans l'aéroport, une deuxième altercation, on m'a tirer par le bras, j'ai lâcher ma valise, je me suis débattu.

« T'as pas le droit de partir, la blonde. »

J'ai cesser de me débattre, j'ai tourné la tête vers lui et j'ai inspirait un grand coup, quand mon frère avait voulu me retenir l'épreuve était bien assez dur et il avait fallu qu'il lui dise à lui, j’étais sur que mon frère avait appelé Julian, mon meilleur ami et plus que ça au fond de moi.

« Ta gueule, le mouton. »

Un sourire c'était dessiner sur ces lèvres, on se parlais toujours comme ça, on rigolais toujours ensemble, il était parfait, je le connaissais depuis bien longtemps, on s'aimait trop, et l'avoir en face était une épreuve affreuse, car je devais partir, et je devais le laissé comme j'avais laissé mon frère.

« Je rigole pas, t'as pas l'droit de partir. Tu peux pas me laisser avec la bande de connasse du quartier, avec qui je vais rigoler maintenant ! Si tu fais ça tu va le regretter, blondasse. »

Je secouais la tête un léger sourire sur les lèvres, je n'arrivais même pas à rester sérieuse avec lui. Je le regardais, haussa légèrement les épaules.

« Il te reste mon frère, et puis les connasses du quartier sont toute folle de toi au fond, t'aura pas de mal à t'intégrer ! Tu rigoleras bien avec eux aussi. Je le regretterais pas, je me tire, tu me retiendra pas, maintenant bouge. »

Je me retourner pour partir, il me retint à nouveau, me fixa un long moment avant de me sortir les derniers mots.

« Reste pour moi, Summer.. T'es folle de moi autant que je suis accro à toi, alors reste pour nous.. »

Je déposait un baiser sur sa joue, et ramassa ma valise pour partir, c'était dur, il avait raison, bien sur qu'il avait raison et mon frère avait fait exprès, il pensait qu'il aurait pu me retenir, mais j'étais à bout.

« On s'appellera, promis. » la même réponse qu'à mon frère.

Aujourd'hui, j'ai beau leurs téléphoné tout le temps, c'est différent, ils me manque, même si ma vie est génial, que j'ai maintenant un boulot et que je continue mes études, mon seul souhait c'est bel et bien de les revoir, d'être à nouveau avec eux.