Sujet: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Sam 30 Mar - 13:34
Alexander M. Vasquez
❝ Les louves sont entrées dans la ville.
∞ NOM Vasquez ∞ PRÉNOM Alexander ∞ DATE & LIEU DE NAISSANCE 12/03/1886, loin d’ici, mais aux USA tout de même. ∞ ORIGINES américaines&une grand-mère espagnole. ∞ MÉTIER/ÉTUDES Peintre∞ SITUATION CIVILE Seul… ∞ ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuel.∞ GROUPE Ma vie est la proie de l’ombre∞ AVATAR Jackson Rathbone
La maison fait partie de l'histoire de la ville depuis de nombreuses années, quel est votre avis là-dessus ?
Maison de la débauche qui me rappelle sans cesse le monstre que tu étais Stéphanie. Sale Petite Menteuse, qui t’habillais des airs candides d’un ange alors que tu avais précipité tant de filles dans l’Enfer de la prostitution. Et oui, je t’ai suivie. Je n’allais pas te laisser partir sans un mot, encore une fois. Mais ici, les gens ne t’aiment pas. Ils m’ont murmuré des choses à l’oreille, tout doucement, ils m’ont conté comment, sous le règne de l’hypocrisie et du non-être, tu étais devenue tout ce que tu méprisais. Oh ma douce, jamais je n’aurais dus venir jusque dans cette ville où chacun se glorifie de baiser quelques morceaux de viande tombés entre leurs griffes avides, pour quelques dollars offerts à l’office du vice. Et toi, tu en étais la prêtresse. Tu prenais de pauvres âmes esseulées sous ton aile sanglante, puis leur faisait croire qu’elles seraient bien plus heureuses en vendant leur pureté. Foutu placeuse. Pourquoi t’es revenue dans ce royaume de ténèbres où chacun rêve de te bruler vive telle la sorcière que tu es ? On raconte que tu as changé, mais Stéphanie, moi je te connais depuis l’enfance et jamais, jamais, jamais je n’aurais imaginé toutes ces horreurs dont tu fus complice. Et tu pourras faire briller tes petits yeux autant que tu le voudras, personne n’oublieras la chienne que tu as été. Je sais pourquoi tu as quitté cette ville, et pourquoi tu y es revenue. Elle. Ta petite princesse aux cheveux d’or. La petite pute dont tu es tombée amoureuse après l’avoir pervertie jusqu’à la moelle. Ahah, Dieu sait comme j’aimerais qu’elle brise ton putain de cœur de glace. Aller danse, danse, danse dans le temple du déshonneur, mon amour, colle ton corps nu contre celle que tu as bafouée, je t’oublierai, je t’oublierai, je t’oublierai, un jour, et j’en fais le serment, je guérirai de toi et de tes mensonges… Maison à la con.
quand les masques tombent
∞ PSEUDO/PRÉNOM Nawel ∞ ÂGE 15 ans . Je sais que ce forum est déconseillé aux moins de 16 ans, mais à quelques mois près, quelle importance ?∞ PRÉSENCE 04/07 jours ∞ INVENTÉ/SCÉNARIO Inventé ∞ COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI ? Je ne m’en souviens plus ^^ . ∞ UN AVIS ? UNE QUESTION, SUGGESTION ? Je trouve le contexte on ne peut plus intéressant ! ∞ UNE DERNIÈRE CHOSE ? J’ai un problème avec mon avatar que je ne parviens pas à remettre à la bonne taille, mais il sera arrangé au plus vite !
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Sam 30 Mar - 13:36
Allonge toi sur ce divan, parle nous de ta vie
Ici, tu vas pouvoir écrire tout ce que tu désires sur ton personnage. La forme est libre ! Narration, pages de journal intime ou même mini scènes, laisse toi aller. Tu peux ajouter des images mais aussi des musiques, ne te prive pas ! Un code t'es fourni à la suite de ce message pour ajouter des images et éviter de déformer la présentation si tu n'es pas très calé en codage. Pour finir, il n'y a pas d'exigence particulière si ce n'est faire au moins 600 mots. Aussi, attention aux fautes, n'oublie pas de relire ton récit !
Puis le collège. Ahah, j’en étais le roi. Les filles sont belles, elles défilent, mais leurs âmes sont vides, insalubres, étriquées. Aucune ne me touche. Je suis le roi, mais les princesses me semblent bien fades… Puis je rencontre Stéphanie l’invisible, qui n’existait pas. Dépressive, elle a des yeux sombres comme la veste des politiciens faussement engagés, les cheveux presque aussi clairs que la tunique des anges, et la voix incisive lorsque doucement je lui demande son nom. Elle ne daigne pas répondre, mais ne s’incline pas. Sa sœur est bien plus belle, sourire aux lèvres, les prunelles opalines, elle chantonne en grande enfant dans le grand réfectoire. Mais je n’ai d’yeux que pour la gamine qui se mure dans un silence glacial.
Le monde tremble autour de moi.
J’en suis tombé amoureux ce jour là. Mais si impétueuse soit-elle, Stéphanie ne me résista pas longtemps, en quelques semaines elle fut mienne. Les vautours et les princesses hoquetèrent et s’étouffèrent sous leurs étoffes factices. Le roi renie les courtisanes pour la pauvresse du coin. Faut croire que notre bonheur sonnait presque comme un blasphème.
1 an passe . Lycée. Je suis las de Stéphanie , toujours collégienne, trop fragile et trop pure, moi je ne vois plus que les chiennes qui me mordent la joue, et puis Ophélie c’est la pire, elle m’embrasse à pleine bouche. Mon amour devient folle, et me quitte sans procès, mais de toutes façons, elle s’en fou, désormais ils sont tous à ses pieds. Ces mêmes hommes qui l’enfonçaient allégrement se prosternent à genoux devant son corps de vierge devenue impudente, et elle joue, la petite salope, elle leur arrache le cœur, et repeindrait bien son vestibule avec le sang de ses victimes, elle se venge de tout le mal que je lui fais, en 6 mois, ce devient une débauchée.
Puis vint cette fête, Stéphanie n’a que 15 ans, mais tous la veulent. Moi comme un con je contemple sa robe si courte, qui moule à outrance les formes trop pleines qui dessinent sa silhouette. Elle a le visage peint, les yeux habillés de quelques lumières. Et j’entends comme ses talons claquent, lorsque qu’elle se trémousse au milieu de cette foule dont les yeux se tournent sur sont passage. La convoitise brille alors même dans les prunelles en demi-teinte de vieillards graveleux. Les porcs . Comme ils la guettent… Elle est belle à mourir.
La peur alourdit alors mon cœur de glace, lorsque je me prends à songer à ces caricatures de souvenirs qui se pressent en masse sous l’abri de mon crane étriqué. Oh, comme je ne sais plus que penser, alors que ce désir de la posséder à nouveau me rends fou. Stéphanie me sourit, puis elle me tend sa main, je la serre fort fort, me lève et esquisse deux ou trois pas sur le rythme endiablé... On est trop jeunes pour s’aimer, j’aurais déjà du l’oublier, j’ai 17 ans, des filles accrochées à mes bras, qui ne veulent que mon bonheur, mais Dieu que j’ai mal de la voir de si près sans pouvoir l’embrasser…. Et je ne sais pourquoi résonne tout ce mal dans ma tête. Serais-je encore soumis aux arabesques hiératiques d’un amour qui n’a plus lieu d’être ? C’est une belle soirée je crois, ici, mon ange panse ses plaies, l’angoisse me tort la gorge, je suis une bête acculée en tout sens, l’horloge m’assiège et les minutes passent, implacables. Je vais devoir la quitter. Et hop un baiser sur ses lèvres qui m’appartiennent, dernière promesse que je glisse sous ses paupières qui commencent déjà à s’alourdir de sommeil. C’est qu’une gosse après tout.
Et c’était reparti pour un tour, d’un an et demi cette fois, Stéphanie est parfaite, mais moins douce qu’avant, et sa sœur me hait du plus profond de son cœur.
Les mois passent, et Stéphanie me fait peur. Elle les séduit, puis les détruit, elle ment et manipule avec un naturel qui m’effraie de plus en plus. Valeurs morales à présents inexistantes, son esprit est plus sombre que les champs de bataille dévastés. Petite peste. Je ne te fais pas confiance. Je ne sais pas ce qui t’habite. Ca résonne, ça s’endort. Ce pressentiment, c’est mon pire ennemi je crois. Il effleure ma conscience, insidieux, et m’assomme de noirceur, en un souffle inachevé de ta candeur déjà maintes fois ternie. Les affres d’une âme trop prompte. Des mots au creux de mes os . Habillent mon âme. Abiment mon cœur. Stéphanie tu te perds entre toi et toi, il y a là de quoi te cracher au visage mais aussi assez pour te murmurer je t’aime à tout jamais. Je hais ce que tu es, je te méprise encore. Mais au fond, je sais que tout est de ma faute, et de celle de ta mère la folle…
Puis t’es partie.
3 ans. 3 ans. 3 ans.
Même ta jumelle Elena ne savais pas.
Un jour d’avril… Des coups légers à ma porte. Stéphanie. Elle est bien plus belle qu’avant, c’est une adulte maintenant. Une conversation à la con. Ses yeux pleurent doucement, ses mains se tordent, elle secoue la tête à chacune de mes questions. Sa voix tremble. Stéphanie ne sais plus mentir, mais ne veux rien me dire. Elle tombe sur Le portrait que j’ai peins de Christelle, ma compagne depuis peu, une jolie muse qui m’aime à la folie. Son visage se décompose. Et oui, ma belle, moi j’ai continué à vivre sans toi. En apparence.
« -Tu l’aimes ? »
Elle a murmuré la question à mi voix, et ses yeux me dévorent . Pauvre sotte. Bien entendu, je ne suis pas amoureux de Christelle et tu ne le sais que trop bien, mais ses lèvres me font oublier les tiennes tandis que je me noie allègrement dans ses prunelles azurées. Toi Stéphanie, tes yeux sont bien trop sombres pour ta blondeur, et ton âme trop noire pour ton doux visage. Elle, c’est tout ton contraire . C’est sans doute pour cette raison que je ne puis m’en amouracher… Je soupire. Christelle va mourir. Mourir de douleur, je le sais.
Quant à Stéphanie elle est collée contre moi ce soir oui, comme avant lorsque l’on s’aimait… J’ai presque envie de l’embrasser mais c’est fou comme je la hais. Stéphanie, elle rêve encore du gout amer de mes lèvres, Stéphanie et ses douces formes de femme…. Je l’ai connue gamine et frêle derrière un masque d’insouciance , Stéphanie entre nous, c’est passionnel, mais chaque passion est destructrice, Stéphanie elle m’a brisé le cœur, je lui ai arraché le sien, Stéphanie elle m’a voulu du mal, quand je la rendais folle, Stéphanie, c’est ma princesse en plein cœur des ténèbres, mais elle se conduit comme une gueuse, Stéphanie est corrompue, oh oui ma douce, je ne t’aime plus. Et c’est tes lèvres contre les miennes, tes larmes contre ma rage, mes mains sur ta peau nue, Stéphanie est bien trop belle pour être chaste…
Je lui résiste un peu. Elle n’aime pas cela.
« Je regrette d’être partie, je regrette de n’avoir pas saisi la beauté de ce que l’on était, et par-dessus tout, je regrette d’avoir joué avec ton cœur au point que tu n’oses plus me le confier. Offres nous encore une chance mon amour, je ne gâcherai pas tout cette fois, redeviens cet ange que tu étais, je te jure de ne pas de briser…. Ote cet hideux masque d’indifférence, s’il te plait… Je le vois dans tes yeux, je le sens dans tes mots, tu es le miroir de ce que je suis… »
Ah les paroles adamantines qui vinrent abaisser ma garde. Ses yeux se font suppliants.
« Tu sais, je ne suis qu’une gamine désœuvrée qui crève de peur à l’idée que tu sois enfin parvenu à l’oublier…. Aimes moi, reprends moi, pardonnes moi… »
Je l’aime. Elle le sait. Elle me possède. Et je signe doucereusement mon pardon en effleurant son corps plein de cicatrices.
Aller, encore un tour de ce manège infernal.
Stéphanie est revenue bizarrement fragile et innocente, presque naïve, comme lorsque je l’ai rencontrée. Quand j’évoque ses trois années d’absence, elle pâlit douloureusement. Je ne doute pas un instant qu’elle fut victime de quelques horreurs l’ayant traumatisée à jamais. Alors, à chaque fois, je caresse son visage et lui conte des paroles d’espoir au creux de l’oreille…
Le téléphone crie. Elle répond. Sa voix tremble. Elle raccroche puis s’effondre. Pour la première fois en 7 ans, je la vois pleurer.
« Il faut que je m’en aille…. »
Salope. Moi j’étais presque guéri de toi. T’es revenue, tu m’as joué cette foutue comédie d’ex amante éplorée. Je suis retombé fou amoureux de toi. Puis tu t’es barrée salope, sans explications, sur un simple coup de fil ! Et j’ai un peu envie de m’écorcher la peau , aux lueurs de ces espoirs que je n’ai plus, quand les larmes brulent, amères, et viennent abimer mon cœur trop instable.
Ce soir je baise Alice, tu sais, elle est folle de moi, mais j’en ai rien à foutre. Sa chevelure de feu a un parfum écœurant de lavande et de jasmin. J’aime pas les fleurs.
Ce soir, je baise Fanny la musicienne, elle a le corps parfait, mais sa bouche de suceuse me débecte, en plus elle ne sait pas s’en servir, bien trop innocente pour ça. Elle va pleurer, mais j’en ai rien à foutre. J’aime pas la musique.
Ce soir je baise Christelle la conne au visage poupin. C’est un mannequin, une perle rare, elle m’aime à mourir, mais j’en ai rien à foutre. Je lui fais mal, comme toi tu m’as fais mal. Au cœur. J’aime pas les amoureuses.
Ce soir je baise Charlotte la fantasque faussement originale. Elle fume une clope toutes les heures, prends des poses de fille sage, s’invente des démons pour lui ronger l’esprit, mais n’a pas compris que le sien, c’est moi. Elle va criser la fille de millionnaire, quand elle verra que je me suis servi d’elle comme elle des hommes. Mais j’en ai rien à foutre. Rien à foutre de rien. J’aime plus personne.
Ahah ! Hé toi la drôlesse au yeux d’ébène, viens donc voir ici… Depuis ma princesse des ténèbres, mon cœur est inviolable. Ma petite poupée je ne t’aimerai jamais. Néanmoins, qu’il est bon de sentir ton corps se tendre contre le mien, tes lèvres avides effleurer ma peau, tes mains si douces caresser mon visage, ton souffle chaud au creux dans mon cou, et tes longs cheveux de fée venir habiller mon épaule d’albâtre en ce doux temps d’hiver... Aller viens poupée, que l’on s’amuse follement, je ferai comme si je t’aimais, comme si tu devais être la prochaine, à te perdre dans mes bras. Viens pas pleurer après. Je n’y peux rien moi. C’est de la faute à Stéphanie.
Je suis allé chez Elena. Elle m’a tout dit.
Je t’abhorre. C’est malsain mais rien d’autre que l’éclat astringent de la haine ne peut résonner sur mes os d’albâtre. Et le crissement sec de mes ongles sur ma peau me rappelle la décadence des vestiges de ton Empire ma douce. Le règne du non être et de l’égoïsme, auquel tu t’adonnais si bien a fait de toi tout ce que tu méprisais. T’étais une placeuse. Une foutue placeuse. Je croyais qu’ils t’avaient faIt du mal, mais en fait c’est toi le monstre de l’histoire. Dis-moi, pourquoi t’as fais ça ? Que t’avaient-elles fait ces filles, à part venir pleurer dans tes bras ? Tu les as toutes trahies, tu les as plongées en Enfer, à la merci de tous ces êtres en carence de dignité. Mais tu t’es prise à ton propre jeu hein ! Avec Lena la mauvaise. Cette pute aux cheveux jaunes que t’as pervertie jusqu’à la moelle, tu es en tombée amoureuse. C’est pour ça que tu es repartie. Pour sauver ton aimée de la débauche dans laquelle tu l’as plongée… Idiote. J’espère bien qu’elle va te bousiller comme tu nous bousilles tous.
J’ai frappé Elena, désolé, mais elle a des traits trop semblables aux tiens, et voir le sang couler de son front et obscurcir enfin ses yeux pâles, ça m’a fait un bien fou. Surtout qu’elle prend encore ta défense celle là, avec des arguments d’une niaiserie effarante ! Oh pauvre chérie, tu es repenti, tu es pleine d’amour, tu es bipolaire, pas très équilibrée, tu es un ange aux ailes noires, un démon d’une blancheur nivéale, tu es deux dans ta tête, et totalement instable mais il faudrait comprendre, vous avez eu une enfance difficile… Pauvre conne d’Elena , il y n’est pas de blessures qui ne se referment pas.
J’suis parti. J’ai pris la bagnole et je me suis rendu dans cette ville, Eden Island. C’est laid comme un mathématicien aux mains moites. Personne ne sais où est Stéphanie, ici, les gens ne l’aiment pas. Et chaque fois que je passe devant cette maison, j’imagine une scène tout juste orgiaque. Dans la bouche des putains ce soir, la bile coule, tout autant que l’alcool au fond dans leurs gorges desséchées. Elles oublient le déshonneur, infâme, de n’être aux yeux de tous qu’un vulgaire morceau de viande duquel on se sert sans limites. Les porcs. Ils doivent bien rire ce soir, le whisky incendiant leurs gosiers d’où s’échappent des rires gras. Des voix, des hurlements. L’ivresse malsaine d’une fête. Ici les têtes tournent, les cœurs défaillent. Et Dieu qu’elles doivent être belles. Il n’y a pas de vierges effarouchées, oh oui, cela fait bien longtemps que ces filles ne saignent plus. Gloire à celui qui tentera vainement de les sortir de la débauche au lieu de les baiser comme des chiens saliraient des chiennes trop soumises. Honte à ces hommes qui poussent des gamines à croire que le mépris croire que le mépris de toute pureté est une fierté, et la plus frele histoire d’amour un mythe. Viens donc faire un tour au pays des aliénés, ce soir, l’alcool coule à flot, sans le cœur des drolesses à la tete éprise de pensées contrefaite .
Aller Alex, reprends-toi. Tout n’est pas si noir. Pourquoi ne pas rester ici, quelques semaines, mois, années ? Tu as peins tes plus belles toiles ces derniers mois . Et rien ne te retiens là d’où tu viens….
Le monde tremble autour de moi. C’est drôle ici.
Il y a un sinistre balai d’âmes plus ou moins allègres, plus ou moins pures et candides qui virevolte à mes cotés. Le monde tremble autour de moi. On danse encore un peu avec les rois, sous les pleurs des violons depuis que les loups sont entrés dans la ville. Et Leurs griffes étincellent sur l’asphalte délabrée, les agneaux se cachent derrière des écrans multicolores, oui, le monde tremble autour de moi. La reine des putains chante doucement Ses rêves éthérés… Le monde tremble furieusement, mais le soleil brille, et Dieu que c’est beau, tous ces rubans d’or qui viennent habiller nos espérances d’une dernière note d’amour périmé.
Dernière édition par Alexander M. Vasquez le Dim 7 Avr - 19:32, édité 1 fois
Roxanne A. Ryans
membre ☇ i have a story to tell
→ messages : 137 → avatar : isabel lucas → crédit : undecided mind
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Sam 30 Mar - 16:46
Bienvenue Pour ton avatar, utilise le dernier cran du "Profil". Il faut l'installer avec l'URL :) Ca ne changera pas si c'est par l'ordinateur :) Au fait, j'adore cet acteur !
L. Izalys Snowfield
administrateur ☇ king of promise
→ messages : 915 → avatar : Jared Leto → crédit : hell & tumblr
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Sam 30 Mar - 23:01
Bienvenue sur Breaking Weakness Alex ! Bon courage pour ta fiche de présentation, & n'hésite pas si tu as des questions J'ai hâte de lire ta fiche. Roxanne a parfaitement expliqué, pour l'avatar. Si tu ne parviens pas à régler le souci, on s'en occupera
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Jeu 4 Avr - 17:26
Merci
En revanche, serait-il possible d'obtenir un délai, jusque dimanche soir? Parce que, comme j'ai été très occupée cette semaine, je n'ai pas encore eu le temps de rédiger ma fiche
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Dim 7 Avr - 19:33
Merci La fiche est terminé, je n'ai pas trop eu le temps pour la mise ne page, désolée!
L. Izalys Snowfield
administrateur ☇ king of promise
→ messages : 915 → avatar : Jared Leto → crédit : hell & tumblr
Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander) Lun 8 Avr - 10:50
Tu as une façon d'écrire absolument superbe Je te valide avec un immense plaisir ! J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous !
Bienvenue sur Breaking Weakness
Félicitations, ta fiche est parfaite, nous te validons donc avec grand plaisir.
Avant toute chose, n'oublie pas de vérifier que ton avatar a correctement été ajouté au bottin & que ton profil est entièrement rempli. Ensuite, il est temps de te lancer dans cette grande aventure. Tu peux donc créer ta fiche de liens, sans oublier de la tenir à jour régulièrement, puis te rendre dans les demandes de logements/métiers pour être ajouté aux annuaires.
En cas de questions ou suggestions, n'hésite pas à contacter les adminisitratrices, elles se feront un plaisir de te répondre. Encore une fois bienvenue, & amuse-toi bien parmi nous !
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Sujet: Re: Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander)
Je baise la robe de la déchéance humaine (Alexander)
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